Les activités extra-scolaires favorisent-elles les inégalités filles – garçons ?
Qui dit rentrée scolaire, dit choix et inscriptions aux activités extra-scolaires car les 2 vont souvent de paire. A chacun·e sa technique pour choisir parmi les différentes activités sportives et culturelles proposées. Ces activités sont choisies par l’enfant, le(s) parent(s), les grand(s)- parent(s) pour différentes raisons : attractivité, curiosité, hasard, praticité, budget… Elles sont des outils de socialisation, de construction de soi, d’éducation et jouent un rôle dans les compétences développées par les filles et les garçons. Il est vrai que ces loisirs et particulièrement les sportifs sont souvent non-mixtes, ce qui peut créer, volontairement ou non, chez l’équipe d’encadrement des comportements et des attitudes différentes selon le genre. Cette « sexuation » des pratiques extra scolaires est souvent oubliée. Pourtant choisir une activité perçue comme du sexe opposé apparaît souvent comme un comportement transgressif. Et si ce « choix », d’apparence anodine pour un enfant âgé entre 5 et 9 ans était influencé par nos stéréotypes de genre ? Et si il pouvait influencer leur avenir ? Mais alors, pourquoi et comment rendre les activités extra scolaires plus égalitaires ?
DÈS L’ENFANCE, DES INÉGALITÉS DANS LA PRATIQUE SPORTIVE ET CULTURELLE SELON LE GENRE
Les garçons sont plus nombreux à pratiquer une activité sportive, et les filles une activité artistique
Tout d’abord, il faut noter que dès l’enfance il existe des différences entre les sexes dans la pratique d’une activité sportive et culturelle. Le sport ayant souvent une connotation « masculine » (force, endurance, compétition) et l’autre une connotation « féminine » (calme, sensibilité, émotions).
D’un côté, les garçons sont plus nombreux à faire du sport que les filles. En 2017, parmi les licenciés de sports olympiques, non olympiques et multisports, âgés de 5 à 9 ans, 61% sont des garçons et 39% des filles. Cet écart sera relativement le même à l’âge adulte. D’ailleurs, en observant les sportif.ve.s de haut niveau, la représentation féminine est assez proportionnelle au nombre de licencié.
Et de l’autre côté, les filles sont plus nombreuses à pratiquer une activité artistique. En 2009, selon une enquête du ministère de la Culture et de la Communication en école de musique, conservatoires et équivalents, il y avait 55% de filles en cursus musique, 92% en cursus danse et 66% en cursus art dramatique. Les femmes sont en effet de plus en plus visibles dans les spectacles vivants et la musique (33% au théâtre, 31% au FRAC, 20% lieux musicaux (1)).
Les disciplines sportives et culturelles pratiquées diffèrent beaucoup selon le sexe
Ensuite, nous constatons que les disciplines sportives et culturelles pratiquées différent beaucoup selon le sexe. Il est vrai que dans le sport certaines activités sont perçues comme mixtes, mais la majorité sont perçues comme masculines (cf.graphique (2)). Cette supériorité se retrouve dans les pratiques sportives libres (football de rue, skateboard…). Ce qui a pour conséquence : une plus grande appropriation de l’espace public par les garçons. En musique, même si la pratique du solfège, de la chorale, et de l’orchestre se réalise dans la mixité, une étude française a montré que le choix des instruments était guidé par des stéréotypes de genre. Les garçons vont davantage s’orienter vers la guitare, la batterie, et la trompette (instruments aux sonorités plus graves), alors que les filles vers la flûte traversière, le violon, ou la harpe (instruments aux sonorités plus aigus).
LES CRItères d’appropriation d’une pratique sportive varient selon le sexe
Quand aux activités physiques, des scientifiques ont identifiées des critères d’appropriation ou non selon le sexe (3), en voici des exemples :
– activités dits masculines ou non féminines : vitesse, force, stratégie, propulsion d’objets, endurance (Ignico (1989)), engagement dans une compétition face à face, dans laquelle les corps peuvent entrer en contact (Kane (1988)), manipuler des armes, piloter des engins mécaniques ou motorisés prendre des risques dans des pratiques agoraphiles (Louveau (1991, 1998)), contacts corporels (Metheny (1965)).
– activités dits féminines : jeux à tour de rôles, expressivité, peu de règles, peu de joueurs (Ignico (1989)), corps projeté dans l’espace avec un but esthétique, objets légers, (Kane (1988)), précision mais pas force (Metheny (1965)).
Les filles comme les garçons intègrent, dès le plus jeune âge, la croyance que certaines activités sportives favorisent davantage l’un des deux sexes. Cette perception varie parfois comme pour le basket ball, mais probablement car les garçons s’approprient ce sport pour ses valeurs collectives et de rapidité du jeu et les filles pour la précision et le non-contact. Les parents sont souvent à l’origine de ces croyances, lorsqu’ils.elles orientent leur enfant vers des activités sportives ou artistiques qui semblent correspondre à leur sexe d’appartenance. (4)
D’ailleurs, plusieurs chercheur.se.s s’accordent à penser que s’il y a des différences de participation et d’investissement dans des pratiques sportives, c’est à cause d’une socialisation différenciée entre les filles et les garçons, et non en raison de différences d’aptitudes. Les individus adoptent en conséquence des comportements qui correspondent aux rôles et stéréotypes sexués.
Deux sources de motivation différentes entre les filles et les garçons pour pratiquer un sport
De surcroît, même si les filles et les garçons sont principalement motivés pour les mêmes raisons pour pratiquer un sport : plaisir, santé et rencontrer des ami.e.s (5). Deux motivations se distinguent : les filles déclarent plus souvent faire du sport pour maigrir (21,8% vs 6,5%) alors que les garçons disent plus faire du sport pour gagner (18,7% vs 8,1%).
Ainsi, que ce soit dans les disciplines artistiques ou sportives, les stéréotypes de genre influencent les enfants dans leurs choix, leurs pratiques, leurs attitudes et leurs comportements.
SI BIEN QUE LES COMPÉTENCES DÉVELOPPÉES DÈS L’ENFANCE, PAR LES FILLES ET LES GARÇONS, VARIENT SELON LES ACTIVITÉS EXTRA SCOLAIRES
dans le sport, il existe beaucoup de stéréotypes liés au corps
Le sport est particulièrement entouré de stéréotypes liés au corps, l’apprentissage va différer selon le sexe : se « défouler », devenir « forts » pour les garçons, être disciplinés et savoir valoriser ses qualités esthétiques pour les filles. Si bien que les compétences que les enfants vont développer varient selon le sport qu’ils·elles pratiqueront, même dans une même discipline où les règles peuvent varier selon le genre.
Prenons l’exemple des sports les plus pratiqués par les garçons et de ceux les plus pratiqués par les filles. D’un côté les sports collectifs comme le football, le basket ball, le handball, le rugby, et de l’autre les sports individuels comme la gymnastique, l’équitation, le patinage artistique.
Les sports collectifs apprennent à développer les capacités musculaires, l’endurance, la résistance à l’effort, l’esprit d’équipe, le combat, le contact, la rapidité de jeu, l’adaptation face à un adversaire, l’organisation pour gagner ensemble, l’élaboration de stratégie d’attaque et de défense…. Ils vont aussi faire travailler inconsciemment l’intelligence spatio temporel car en jeu il faut tenir compte de l’espace entre le but, la balle, les coéquipiers et les adversaires.
Alors que les sports individuels mettent davantage l’accent sur la précision, la grâce, le non-contact, l’équilibre, l’agilité, la souplesse, la présentation. Ils invitent à se concentrer pour mémoriser des mouvements et exprimer des émotions.
La compétition favorise le leadership et les femmes en font 3 fois moins que les hommes
De plus, la participation aux compétitions varie entre les garçons et les filles. Et cela peut s’expliquer en partie par l’encadrement sportif en club qui a tendance à davantage pousser les garçons que les filles à l’exploit sportif et à la compétition. A ce sujet, rappelons-nous en juin 2019, en pleine préparation du match d’ouverture de la coupe du monde de football, à la demande de la fédération, l’équipe de France féminine a dû laisser sa place à l’équipe de France masculine pour s’entraîner pour un match amicale.
En 2015, les hommes inscrits en club ont participé 3 fois plus que les femmes à une compétition sportive. D’ailleurs une étude d’Ernst & Young de 2013 (6) montre que la compétition favorise le leadership. L’étude du parcours de 20 femmes dirigeantes dans le monde a montré que 19 d’entres elles ont pratiqué un sport et fait de la compétition à l’adolescence. C’est le cas de Christine Lagarde, directrice du FMI, a été championne en natation synchronisée, ou encore de Dilma Rousseff, l’ancienne présidente du Brésil a été championne en volley-ball.
de stéréotypes négatifs mettent une pression qui peut compromettre les performances des personnes qui en sont victimes
Ainsi la compétition sportive a encore une image stéréotypée masculine, ce qui peut renforcer des inégalités professionnelles femmes-hommes. En 1997, Steele parle du mécanisme de « la menace du stéréotype ».(7) Son étude montre que des stéréotypes négatifs peuvent mettre une pression sur les groupes de personnes qui en sont victimes et compromettre leurs performances. En 2007, Bonnot et Croizet ont, de même, mis en avant que les filles qui ont intégré le stéréotype qu’elles sont moins fortes en mathématiques que les garçons, se perçoivent moins compétentes et ont de plus faibles résultats en statistiques. C’est ainsi que les femmes qui croient qu’elles ne sont pas faites pour la compétition (stéréotype négatif), évoluent moins en terme de carrière et de salaire. D’ailleurs, les enfants ont une meilleure confiance en leur capacité lorsqu’ils.elles pratiquent un sport conforme à leur sexe d’appartenance versus quand il ne l’est pas (comme le football ou la danse).
Quant au domaine artistique il n’est pas épargné non plus , les femmes sont là aussi peu récompensées. Elles ont reçu : 4 césar du meilleur film sur 39 lauréats (10% – entre 1973 et 2013); 1 palme d’or au Festival de Cannes pour 51 lauréats (2% – entre 1970-2013); 4 Victoires de la Musique du meilleur album pour 44 lauréats (9% – entre 1985-2013); 170 prix littéraires sur 722 lauréats ( 23% – 1900-2013) (8).
Donc, ces activités extra-scolaires construisent dès le plus jeune âge, une inégalité des chances entre les filles et les garçons qui pourra impacter leur avenir.
MAIS alors EST-il possible de donner la même chance aux filles et aux garçons ?
Le risque c’est que les enfants soient stigmatisés voire même exclus
En fait, me diriez-vous il suffirait d’encourager les filles à participer à des compétitions, d’orienter les enfants vers une activité pratiquée habituellement par l’autre sexe afin qu’ils.elles développent de nouvelles aptitudes.
Le risque c’est que leur choix soit perçu comme anormal, par rapport à leur genre, leur physique, leurs attitudes. Et qu’ils.elles soient ensuite stigmatisés, excluent par leur groupe, voire attaqués sur leur identité et leur orientation amoureuse. Il est vrai que les filles s’aventurent plus que les garçons à choisir des activités considérées comme de l’autre sexe. Et lorsqu’elles le font, il leur ai souvent demandé de préserver leur « apparence » féminine. Au contraire, les garçons sont encouragés à faire preuve d’exploit, de force, de performance car les activités dites féminines restent dévalorisées. Aussi, les garçons seront plus questionnés sur leur homosexualité à l’adolescence que les filles. C’est ainsi que peu de garçon ose tester des pratiques culturelles ou sportives dites féminines.
des actions sont déjà mises en place dans d’autres pays pour déconstruire ces stéréotypes
Mais sommes-nous les seuls en France à être victime de stéréotypes dans le sport et la culture ? Non ! Et d’ailleurs certain.e.s ont mis en place des actions pour y remédier. Comme en Allemagne, avec la création du projet « Mädchen Stärken » pour littéralement forcer les jeunes filles à pratiquer des sports dits masculins. Ou encore, aux Etats-Unis, la Women’s Sports Foundation a mis en place le dispositif « Go Girl Go » dans certaines villes pour inciter les filles de 5 à 18 ans des communautés et quartiers défavorisés à pratiquer une activité sportive régulière. Différentes recherches ont montré que le sport est un outil efficace pour réduire le stress et la dépression chez les filles. Le sport contribue à ce que les filles aient une meilleur estime d’elles et une plus grande fierté d’elles-mêmes. La fondation a d’ailleurs créé un guide à l’attention des parents pour qu’ils.elles encouragent leurs filles à faire du sport. Et toujours aux US, la photographe Christin Rose a créé le site et le livre She Plays she win qui répertorie des photos de pratique du sport dits masculins par des filles.
plusieurs pistes existent pour faire évoluer les mentalités
De même, en mixant les filles et les garçons en entraînement et en compétition, dès le plus jeune âge, ou en proposant des règles et des pratiques similaires pour les deux sexes, comme avoir le même nombre de set au tennis, cela permettrait de créer une pratique égalitaire. Certaines fédérations commencent d’ailleurs, à tester la mixité des équipes mais cela créé encore des débats.
Egalement, en médiatisant davantage des femmes ayant des pratiques sportives ou culturelles. Aujourd’hui, la médiatisation des sportifs est largement supérieure à celle des sportives, et celles-ci sont souvent plus jugées sur leur aspect esthétiques que sur leurs performances. Entre 16% et 20 %, c’est la part consacrée à la retransmission du sport féminin à la télévision en 2017 (9).
Enfin, en communiquant différemment et en montrant des sports sans stéréotypes de sexe dans les publicités, les filles et les garçons pourront plus facilement pratiquer n’importe quelle activité.
La campagne EnVie de Sport (10) de cette rentrée (sur la gauche) est à l’initiative du Ministère chargé des sports pour inciter les français.e.s à pratiquer une activité sportive. Malheureusement, elle véhicule aussi ces stéréotypes sportifs évoqués précédemment. En montrant, par exemple, les garçons dans l’action (jouant au basket ball et pédalant) et en collectif, tandis que les filles prennent la pose, sont seules, portent des objets légers, font attention à leur apparence en se recoiffant ou en souriant à l’objectif.
Et voici deux exemples de communication grand public de l’enseigne Décathlon. Sur la gauche, une publicité pour la rentrée 2017 et sur la droite une vidéo intitulée : « C’est le moment de découvrir de nouveaux terrains de jeu », pour la rentrée 2020.
Comme vous pouvez le voir, il n’y a pas eu de grand changement. Dans les 2 cas, Décathlon choisit de reproduire la réalité de la pratique sportive (pour les filles : gym, danse, pour les garçons : football, sport collectif…).
Pourtant, au travers des campagnes de communication, cette enseigne pourrait être une vraie source d’inspiration pour les nouvelles générations de filles et de garçons, en leur montrant qu’ils.elles peuvent pratiquer le sport de leur choix et non selon leur sexe d’appartenance.
enfin une pratique égalitaire des activités extra-scolaires est possible si chacun travaille à déconstruire les stéréotypes qui les entourent
Pour conclure, il y a donc encore du chemin à faire pour une vraie égalité des chances dans la pratique d’activités extra-scolaires. Pourtant, l’impact sur l’avenir des filles et des garçons est bien prouvé, et il est donc important de commencer à agir dès le plus jeune âge. Différentes pistes existent pour faire changer les lignes : sensibiliser les adultes, communiquer autrement, mixer les pratiquant.e.s, … Aussi à votre niveau, vous pouvez déjà observer et questionner les comportements qui vous entourent. Vous pouvez par exemple vous rappeler les activités extra-scolaires que vous pratiquiez enfant. Vous pouvez vous demander pourquoi à la télévision ou à la radio, les présentateur.rice.s évoquent très souvent les résultats sportifs masculins et non féminins. Vous pouvez vous questionner sur le fait qu’aujourd’hui, il existe, au Brésil, un seul cas d’égalité salariale dans le football mondial entre les femmes et les hommes en sélection. Et vous pouvez aussi inviter les enfants à questionner leurs croyances et la dite « normalité » de situations, de comportements, d’attitudes, de geste, de parole… (Comme, le foot est-ce plutôt une activité de garçon, et la danse de fille ? …) Ainsi, si chacun.e à son niveau nous déconstruisons ces stéréotypes de genre qui entourent les pratiques sportives et culturelles, nous permettrons une meilleure égalité des chances dans le monde professionnel pour les générations futures. Envie d’approfondir le sujet et de découvrir des astuces pour déconstruire les stéréotypes dès l’enfance, consultez notre article : « Comment les enfants développent des stéréotypes de genre avant 5 ans ? »
REFERENCES ET Sources
références
(1) *Théâtre nationaux, centres dramatiques, scènes nationales, scènes conventionnées, pôles nationaux des arts et du cirque, centres de développement choréographiques. Champ : centres dramatiques nationaux et régionaux (CDN/R), scènes conventionnées (SC), scènes nationales (SN), théâtres nationaux (TN). Source : Les archives du spectacle/ministère de la Culture, Direction générale de la création artistique, 2019.
(2) Données chiffrées du Ministère des Sports : Nombre de licencié 2017 âgés de 5 à 9 ans par genre. Ces données sont issues du recensement 2017 qui correspond, selon l’organisation des fédérations, à l’année 2017, ou à la saison 2016-2017. Nous avons retenu les sports olympiques et exclus les sports non olympiques et multisports.
(3) Extrait du Tableau 1 : Critères d’appropriation ou de non-appropriation des activités physiques selon le sexe (extrait de Fontayne, 1999, p. 35 ; Fontayne, Sarrazin, Famose, 2001) présent dans : Les stéréotypes sexués relatifs à la pratique des activités physiques et sportives chez les adolescents française et leurs conséquences discriminatoires. Vanessa LENTILLON – 2009/1 Numéro 499 | pages 15 à 28 – Cairn info.
(4) BOIS J., SARRAZIN P. (2006), Les chiens font-ils des chats ? Une revue de littérature sur le rôle des parents dans la socialisation de leur enfant pour le sport, Movement et sport sciences
(5) CHOQUET M., BOURDESSOL H. et al. (2001), Jeunes et pratiques sportives, l’activité sportive à l’adolescence, les troubles et les conduites associées, INSERM
(6) Ernst & Young (2013), From elite female athletes to exceptional leaders
(7) STEELE, CM (1997), A threat in the air. How Stereotypes Shape Intellectual Identity and Performance, American Psychologist.
(8) Ministère de la culture et de la communication, observatoire de l’égalité entre femmes et hommes dans la culture et la communication – Mars 2014.
(9) CSA, « Rapport sur la diffusion de la pratique féminine sportive à la télévision », septembre 2017.
(10) EnVie de Sport – Campagne de communication de reprise de sport septembre 2020 – Ministère chargé des sports.
Autres sources
– DE LALEU Aliette, Musique : Malheureusement, les instruments ont un sexe, Slate.fr, 31/01/2019
– INSEE Première : Pratiques physiques ou sportives des femmes et des hommes : des rapprochements mais aussi des différences qui persistent – n°1675 – Novembre 2017 :
– Bulletin de statistiques et d’études, N°15-03, CLERONT, Femmes et Sport, Sept 2015
– Bulletin de psychologie, LENTILLON Vanessa, Les stéréotypes sexués relatifs à la pratique des activités physiques et sportives chez les adolescents français et leurs conséquences discriminatoires, 2009/1 Numéro 499 | pages 15 à 28
– Rapport Chiffres clés – édition 2019 : Vers l’égalité réelle entre les femmes et les hommes.
– Rapports et documents – Travaux coordonnés par Marie-Cécile Naves et Vanessa Wisnia-Weill, Commissariat général à la stratégie et à la prospective – Lutter contre les stéréotypes filles garçons, Janvier 2014
– Rapport de La direction de l’égalité des chances, La mixité filles/garçons dans le sport, les loisirs et à l’école 2016